Le secteur nautique appelle à la promotion de l'adéquation de la fiscalité avec l'Europe

Le secteur nautique appelle à la promotion de l'adéquation de la fiscalité avec l'Europe

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Desde la patronal ANEN (Asociación Nacional de Empresas Náuticas), su secretario general Carlos Sanlorenzo apunta al potencial que tiene el sector náutico para generar crecimiento económico y empleo: “El sector náutico está siendo en estos momentos un receptor de nuevos negocios para muchos emprendedores que están apuntando a la náutica. Pero para que sigamos en esta senda, necesitamos seguir modernizando nuestro marco legislativo, eliminando trabas burocráticas y tributos como el impuesto de matriculación que graba la compra de una embarcación de recreo de más de 8 metros de eslora con un 12% de su precio, lo que sumado al IVA supone un 33% más, en ningún país del mundo existe este impuesto que nos sitúa en clara desventaja en el mercado nacional e internacional”.

De l'employeur ANEN (Association Nationale des Entreprises Nautiques), son secrétaire général Carlos Sanlorenzo souligne le potentiel du secteur nautique pour générer la croissance économique et l'emploi: « Le secteur nautique est actuellement un bénéficiaire de nouvelles entreprises pour de nombreux entrepreneurs qui ciblent le secteur nautique. Mais si nous voulons continuer sur cette voie, nous devons continuer à moderniser notre cadre législatif, en éliminant les obstacles bureaucratiques et fiscaux tels que la taxe d'immatriculation qui enregistre l'achat d'un bateau de plaisance de plus de 8 mètres de long avec 12 % de son prix, qui avec la TVA est de 33 % de plus, dans aucun pays du monde il y a cette taxe qui nous met clairement à un désavantage sur le marché national et international.".

Le secteur nautique qui, au cours des deux dernières années, a pu contenir la chute progressive de son marché à la suite de la crise, demande au nouveau ministère du Développement, chargé des pouvoirs de la nautique récréative, de prendre l'élan des mesures législatives en cours qui ont été paralysées au cours de cette année du gouvernement actuel, et de soutenir un match de la fiscalité de notre secteur avec la fiscalité européenne de la nautique.

Les 115 000 emplois (directs et indirects) générés par le secteur nautique et les 5,690 milliards d'euros de productivité qu'il apporte à notre économie dépendent en grande partie du fait que les règlements en cours de développement dans la législature précédente - tout comme les pouvoirs professionnels aux titres du gouvernement des bateaux de plaisance - entrent en vigueur immédiatement.

Depuis que la crise a fortement frappé ce secteur en 2008, au cours des deux dernières années, les loisirs nautiques ont pu arrêter, encore très timide, la forte chute de près de 70% de son volume. Sans aucun doute, l'entrée en vigueur du Décret royal sur les degrés nautiques (octobre 2014), qui a modernisé et adapté nos titres à ceux des pays de notre environnement européen, ou de la loi sur la navigation maritime (juillet 2014), qui a pour la première fois donné sa propre identité à la nautique récréative, a donné un élan important au développement du secteur nautique espagnol, à la fois au niveau national et pour atteindre un meilleur niveau de compétitivité sur les marchés européens. Dans le domaine fiscal, l'élimination de la taxe d'immatriculation sur l'achat de bateaux de plaisance à louer (affrètement nautique) a également conduit à un décollage historique de ce marché, qui a augmenté de près de 60% en 2014.

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