
ANAVRE demande des éclaircissements à Marina Mercante au sujet de la disconfinement Covid19
ANAVRE demande des éclaircissements à Marina Mercante au sujet de la disconfinement Covid19
Jaime Darder Vidal, président de l'Association des navigateurs récréatifs, a fait référence à Benito Quintanilla, qui est responsable de la Direction générale de la marine marchande, une écriture intéressante, motivée par les nombreux doutes qui ont généré, les écrits bien connus des derniers 30 avril et 1er mai. Ce sont les questions qu'ANAVRE a déplacées et nous avons détaillé par concepts et en eux pour les phases déjà célèbres de la décélération de l'enfermement causée par la pandémie que nous souffrons:
A) VISITES À L'ENVIRONNEMENT
Fases 0 et 1- Le plan du 30 avril prévoit la mise en oeuvre du plan dès le début de la phase 0, prévue pour le 4 mai, et de la phase I avec les limites suivantes :
Une personne par bateau: nous comprenons que cette personne doit être l'armateur ou, en son absence, une personne autorisée par l'armateur par l'armateur par écrit à cet effet. Nous souhaitons des éclaircissements sur ce point. Seules les personnes résidant dans la municipalité où le bateau ou le bateau de plaisance est attaché. À cet égard, nous voudrions faire référence aux considérations exposées dans la lettre de propositions présentée par ANAVRE en son nom propre et à celle de 16 autres entités de la communauté nautique qui ont collaboré à la rédaction et approuvé le contenu de cette lettre.
À cet égard, nous croyons que la conduite de ces visites d'inspection est pour des raisons de sécurité et pourrait donc être incluse parmi les raisons du déplacement entre les différentes municipalités de la province. Dans une plus grande mesure, nous constatons que la configuration spéciale de nos côtes signifie que, dans de nombreux cas, les armateurs résident dans des municipalités autres que celles du port d'amarrage de leurs navires. Même dans des situations de noyau urbain qui couvrent plus d'une municipalité, un résident pourrait donc constater que, bien que vivant dans le même noyau où il a son point d'amarrage, il est dans une municipalité différente.
Il y a aussi des cas de corps marins, tels que des baies, des rías, etc... qui couvrent différentes municipalités et il y a le même cas sur lequel nous venons de commenter. Nous sommes donc intéressés à reconsidérer cette limitation, pour les raisons géographiques décrites ci-dessus et, en particulier, pour des raisons de sécurité, étant donné que l'absence d'inspection et d'entretien peut conduire à des épisodes tels que l'incendie de bateaux de plaisance qui a eu lieu cette semaine à Valence, qui non seulement mettent en danger l'intégrité des navires et constituent une menace claire pour l'environnement, mais menacent également l'intégrité physique du personnel des marines et des services d'urgence concernés.
Fases 2 et 3 - Nous pensons que les deux devraient, pour les raisons déjà mentionnées, permettre des mouvements entre les différentes ACA et entre les provinces de la même Communauté autonome.
Nous souhaitons revoir et clarifier ces limites. En tout état de cause, nous sommes intéressés à établir une procédure pour la justification du mouvement, essentiellement par l'obligation de l'armateur ou de la personne autorisée par l'armateur à effectuer la visite pour porter avec lui la documentation de la propriété du navire ou du lieu où il est lié, soit comme port de base ou en transit. Et, le cas échéant, accréditation de l'autorisation ou de l'ordre de l'armateur dans le cas où la visite de sûreté est effectuée par une personne autre que celle-ci.
Étant donné que, dans de nombreux cas, les originaux des documents à l'appui de la propriété ou du port de base sont à bord, ou que la personne autorisée peut résider dans une autre municipalité ou province, nous sommes intéressés à ce que ces documents puissent être constitués d'une copie des originaux et, dans le cas des autorisations, il est jugé suffisant qu'ils soient faits par courrier électronique. Nous comprenons qu'il sera nécessaire d'établir des procédures pour éviter les agglomérations dans les ports, et nous comprenons que celles-ci devraient être développées par les responsables des installations Náutico-sports, en tenant compte de leurs caractéristiques et de leurs capacités, et à cet égard nous voudrions simplement rappeler certaines des idées contenues dans notre lettre de propositions du 27 avril 2020. Nous souhaitons donc obtenir des éclaircissements à ce sujet.
Enfin, nous notons qu'aucune mention n'a été faite de la possibilité pour les armateurs d'effectuer des travaux d'entretien dans le port, comme c'est la pratique habituelle en nautique récréative. Les travaux qui ont été interrompus avec l'établissement de l'état d'alarme dans notre pays et dont la reprise est également nécessaire pour des raisons de sécurité dans la navigation, ainsi que pour pouvoir déconnecter les bateaux et leur permettre d'accueillir de nouveaux bateaux. Nous demandons des éclaircissements sur la possibilité de reprendre ces tâches aux différentes étapes de la décélération.
En tout état de cause, nous comprenons que les heures d'exécution de ces activités seront régies par les procédures établies par les responsables des différentes installations sportives nationales, en tenant compte des mesures ordonnées par le Gouvernement à chaque étape à cet égard. Nous demandons également des éclaircissements.
B) REINITIO DE LA NAVIGATION
Nous nous référons ici aux points 10 et 11 de la lettre du 27 avril, soumise notamment au ministère des Transports, dont la copie a été envoyée à cette direction générale. Dans l'intérêt de simplifier la tâche, nous les reproduisons... même, nous avons intérêt à ce que les armateurs dont le bateau est actuellement dans le port sec dans leur port de base soient autorisés à le déplacer à leur point d'amarrage, et le cas inverse, c'est-à-dire à déplacer le bateau de l'amarrage au port, à condition que l'installation soit dans le même port et qu'il soit nécessaire de le mettre à sec pour l'entretien ou la réparation des bateaux.
En outre, et à partir de la même date, nous sommes intéressés par l'autorisation des armateurs dont les bateaux avaient été laissés aux points d'amarrage ou d'escale en dehors de leur port de départ, de pouvoir, avec un maximum de trois personnes à bord, effectuer le voyage de ces emplacements à leur port de base, dont tous après notification aux capitaines maritimes ou au service maritime de la Garde civile compétente sur le port de départ, justifiant l'emplacement actuel du navire, ainsi que la documentation dont est ce port de base; à condition que le port soit dans le même CAA que le présent emplacement du port de départ, dans le cas du port de départ, en plus d'être précisé dans le cas du navire, dans le cas du port de départ.
Nous comprenons que ces transports pourraient être effectués dans le cadre des exceptions prévues dans la réglementation actuelle de l'état d'alarme et devraient, bien sûr, être possibles à toutes les étapes du processus de déconcentration de la nautique récréative. C'est parce qu'il ne s'agit pas seulement de caprices, mais d'un moyen de déconstruire les ports et les lieux de transit dans les ports maritimes, d'éliminer les surcoûts pour les armateurs, et de promouvoir l'activité des entreprises d'entretien et de réparation dans le secteur nautique et, par conséquent, de restaurer une économie actuellement en récession libre.
Nous demandons donc des éclaircissements et, s'il est jugé recevable d'effectuer de tels transferts, d'établir un protocole pour eux. Une possibilité serait que ces transferts entre différents ports seraient possibles par notification aux capitaines maritimes de départ en joignant l'accréditation de titre, le port de séjour actuel, le port de base et la liste d'équipage. Dans le cas de transferts entre le port et le port, nous comprenons qu'aucune notification ne serait nécessaire.
ÎLES BALERES ET CANAINES
Dans la note explicative du 1er mai 2020, il est fait expressément référence à la situation actuelle de la fermeture des ports des îles Baléares et des îles Canaries. Bien sûr, pour pouvoir mettre en œuvre le plan de déconfinement du 30 avril 2020, il sera nécessaire de modifier cette situation et d'ordonner l'ouverture partielle des ports afin de permettre la réalisation des activités de navigation autorisées aux différentes étapes. Cette ouverture, dans la situation actuelle, ne peut être décrétée que par le Gouvernement espagnol, et nous demandons des éclaircissements sur la question de savoir si elle sera réalisée simultanément avec le début du plan de décélération dans sa phase 0. Phase 0.
Dans cette phase, seule la navigation individuelle dans les eaux de chaque île (et nous comprenons que de chaque province) sera autorisée pour les athlètes fédérés résidant dans la même municipalité où se trouve le bateau. À cet égard, un certain nombre de questions ont été soulevées sur lesquelles nous comprenons qu'une clarification expresse est nécessaire: cette annonce, ainsi que la mesure qui entre en vigueur aujourd'hui en autorisant la pratique du sport individuellement (qu'elle soit ou non fédérée) sur la route publique et à des moments restreints, a causé des situations telles que que la Fédération Baléare de Vela émet une déclaration selon laquelle, les sportifs qui ont été établis le même jour ne peuvent effectuer l'entraînement à la voile que de 06: 00 à 10: 00 heures, et de 20: 00 à 23: 00 heures, qui sont des heures dans lesquelles il n'y a normalement plus de temps dans lequel il n'y a pas plus de sport, mais qui ne serait plus possible de pratiquer, dans le domaine du sport, ce qui ne serait plus possible, dans le domaine du sport, et qui ne serait plus dans le domaine de la voile.
La logique dicte que, comme il s'agit de sports pratiqués par des athlètes non professionnels fédérés, et de développer dans des circonstances où la distance de sécurité est plus que assurée, les sports nautiques pourraient être pratiqués dans une série de temps qui leur sont propices, et pour des périodes suffisamment longues pour pouvoir prendre en compte les temps nécessaires pour quitter les eaux portuaires, assembler et démonter des engins, bougies, etc.... Nous souhaitons donc obtenir des éclaircissements à ce sujet.
Pêche à utiliser: sauf pour la navigation de croisière, il est très fréquent pour les athlètes fédérés d'utiliser des avirons ou des voiliers, entre autres, appartenant à des clubs nautiques, des écoles de voile, etc... avec lesquels ils s'entraînent normalement. Nous demandons donc des éclaircissements sur la question de savoir si les athlètes non professionnels fédérés qui souhaitent pratiquer des sports nautiques peuvent le faire avec des navires autres que les leurs, ou ceux des clubs de voile ou des écoles, etc.... et, si la réponse est positive, la procédure est établie pour assurer un accès sûr à ces navires, ainsi que pour leur montage et démontage, comprenant qu'il est préférable de laisser l'organisation de ces tâches aux clubs et écoles de sports nautiques, qui sont les mieux informés de leurs installations et capacités. Déplacement: une fois de plus, compte tenu des mesures qui entrent en vigueur aujourd'hui, il y a des doutes à ce sujet.
Par exemple, nous avons reçu des consultations telles que ce qui se passe dans le cas où mon port se trouve à plus de 1 km de chez moi, puis-je y aller? Puis-je utiliser la voiture pour aller au port?, si j'ai un bateau léger à voile ou à rames, puis-je l'emmener au port avec une voiture et une remorque? En outre, nous voulons faire la même considération en ce qui concerne la différence entre la municipalité de résidence et la municipalité dans laquelle le navire à utiliser se trouve que nous avons fait en parlant des visites de sécurité de base. Nous demandons donc des éclaircissements sur ces points.
Fases 1 et 2 - Nous regroupons ces phases parce que les considérations et les points que nous comprenons doivent être clarifiés.
Composition des groupes: Puisque dans la phase 1 l'ouverture de terrasses, ainsi que d'hôtels et d'hébergements touristiques, nous pensons que les groupes qui vont à la voile ne devraient pas nécessairement être par des personnes du noyau familial ou vivant dans la même maison. Bien que, dans le cas où la sortie implique une nuit à bord, au cours de la phase 1, certains règlements pourraient être établis pour ceux qui peuvent passer la nuit à bord ou la distribution des cabines. Nous demandons des précisions sur ce point pour les phases 1 et 2. Déplacement: Étant donné la distribution des ports dans notre géographie, et que dans la phase 1 l'ouverture d'hôtels et d'hébergements touristiques pour les clients de la même province est attendue, nous pensons que les utilisateurs devraient pouvoir se rendre aux ports même s'ils se trouvent dans une autre municipalité, mais dans la même province ou île dans la phase 1.
Dans la phase 2, le déplacement vers d'autres îles ou provinces pourrait déjà être autorisé dans le cadre de l'autonomie. Nous demandons également des éclaircissements sur ce point. Portée de la navigation: La nature même de la navigation récréative rend pratiquement impossible de limiter son champ d'application aux eaux d'une seule municipalité, parfois d'une seule province. Par exemple, sur une seule planche à travers la baie de Palma nous pouvons naviguer à travers les eaux adjacentes avec les eaux de Calviá, Lluchmajor et Palma de Majorque; ou dans les cas comme celui de la rivière d'Arousa, dans une teinture avec cinq ou six bords nous pourrions changer de province si souvent. Nous pensons donc que, selon les phases, la possibilité de toucher des terres d'abord dans les ports de la même municipalité, puis dans l'île ou la province peut être restreinte.
Phase 3 - En même temps, l'atterrissage sur la côte devrait être régi par ce qui est établi pour l'ouverture des plages. Cependant, il devrait être possible de débarquer sans descendre quelque endroit sur l'île ou la province, puis de la communauté autonome ou d'autres îles, jusqu'à ce qu'il atteigne la phase 3. Nous demandons donc des éclaircissements sur ce point.
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