ANEN rapports sur les limitations à l'activité nautique causées par COVID- 19

ANEN rapports sur les limitations à l'activité nautique causées par COVID- 19

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Limitations à l'activité nautique par rapport à RD 463 / 2020 déclarant l'état d'alarme pour la gestion de la situation de crise sanitaire causée par COVID-19

Dans le cadre des mesures publiées par le Décret royal 463 / 2020 déclarant l'état d'alarme pour la gestion de la situation de crise sanitaire causée par COVID19, nous offrons à Anen le maximum de coopération et de prédisposition aux autorités qui exercent des compétences sur notre secteur.

À cet égard et dans le but de rendre compte des mesures qui ont été publiées hier dans le cadre de l'arrêté royal, nous mettrons alors en lumière les plus pertinents en termes d'activité nautique qui se déroule dans notre pays.

Nonobstant ce qui précède, les mesures résumées ci-dessous sont sans préjudice d'autres restrictions ou limitations additionnelles ou additionnelles établies par le CCQA ou les capitaines maritimes et qui doivent être prises en charge par les employeurs et les utilisateurs du secteur que nous représentons.

En ce qui concerne l'activité nautique professionnelle

Premièrement, il faut préciser que ce décret royal n'interdit pas le travail sur le lieu de travail. En fait, l'un des rares cas dans lesquels la circulation des personnes est autorisée est précisément que : aller et revenir du lieu de travail. L'article 7.1.c l'autorise expressément à «déplacement sur le lieu de travail aux fins de prestations professionnelles, professionnelles ou commerciales».
Toutefois, le décret suspend toute activité de vente au détail qui n'est pas de première nécessité. En d'autres termes, ils ne peuvent ouvrir (et donc travailler pour le public) « les magasins de nourriture, boissons et produits de première nécessité, pharmaceutiques, médicaux, optiques, orthopédiques, hygiéniques, presse, carburant, étanches à l'eau, équipements technologiques et de télécommunications, aliments pour animaux familiers, nettoyeurs à sec, coiffeurs, Internet, téléphone ou par correspondance ».

Cela signifie, par exemple, que les activités des sociétés de services ou des compagnies nautiques sont interdites de les ouvrir au public sans préjudice du fait que le personnel peut y travailler conformément aux mesures établies par le Ministère de la santé, des consommateurs et de la protection sociale.

Il en va de même pour les activités industrielles telles que la réparation ou la construction de navires dans le sens où leurs travailleurs pourront exercer les activités professionnelles sans possibilité de contact avec le public ou les clients.

Sans préjudice de ce qui précède, nous recommandons en tout état de cause l'opportunité d'améliorer le «télétravail», à condition que l'activité le permette et empêche ainsi le déplacement vers le lieu de travail.

Activités sportives (y compris la voile) ou activités récréatives d'ambiance privée

L'article 10.3 de l'arrêté royal suspend également tous les types d'activités sportives et de loisirs visés à l'annexe de cette législation. En particulier, l'annexe prévoit des "tests et expositions nautiques" ainsi que les activités sportives et récréatives qui se déroulent dans des lieux, sans spectateurs, destinés à la pratique du sport-récréation à usage public. Sous toutes ses formes.

Par conséquent, toutes les activités liées aux courses d'eau ou aux essais et expositions sont interdites. En ce qui concerne la navigation de plaisance privée, bien que l'arrêté royal
interdit expressément, nous pensons qu'il n'est pas implicitement permis puisqu'il est interdit de se déplacer par des voies publiques pour mener à bien cette activité (le transfert à l'installation portuaire nautique) à moins qu'il ne s'agisse d'une question exclusivement professionnelle. La même chose serait étendue à toute activité nautique qui est destinée à se développer sur nos plages, surtout lorsque beaucoup d'entre eux ont été fermés au public.

Nous appelons donc à une responsabilité maximale pour ceux qui ont l'intention de mener ces activités et d'éviter les sorties avec des bateaux de plaisance ou des dispositifs nautiques pendant que l'état d'alarme est en place. Sinon, ils peuvent être soumis au régime de sanctions établi par l'arrêté royal.

Activité professionnelle dans les installations náutico-sportives

Comme nous l'avons indiqué plus haut, l'activité professionnelle dans ces installations n'est pas interdite à condition qu'elle respecte et limite l'attention du public, qui sera suspendue. De plus, ces installations devront probablement assurer des services minimaux pour répondre aux situations d'urgence en matière d'entretien et de sécurité dans les installations nautiques, mais en tout état de cause l'attention du public devrait être évitée.

Pour cette raison, et pour atteindre cet objectif, les installations sportives nationales doivent rester fermées.

Toutefois, les activités de restauration ou d'hôtel sont interdites si une telle installation a cette offre, et ces activités sont suspendues pendant que l'état d'alarme est maintenu. Si l'établissement fournit des services de gym ou d'autres activités semblables, ces services seront également suspendus.

Conséquences du non-respect

Il dispose que le non-respect ou la résistance aux ordres des autorités compétentes en état d ' alarme est punissable conformément aux lois, telles qu ' elles sont énoncées à l ' article 10 de la loi organique 4/1981 du 1er juin 1981.

Carlos Sanlorenzo
Secrétaire général Anen

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