
Entrée en vigueur des mesures juridiques de lutte contre le trafic illicite de personnes et de biens
Entrée en vigueur des mesures juridiques de lutte contre le trafic illicite de personnes et de biens

Le décret-loi royal 16 / 2018, du 26 octobre 2018, relatif à certaines mesures de lutte contre le trafic de personnes et de marchandises par rapport aux navires utilisés, entre en vigueur
Vendredi, le Conseil des ministres a approuvéDécret-loi 16 / 2018arrêtant certaines mesures de lutte contre le trafic illicite de personnes et de marchandises par rapport aux navires utilisés, qui sont entrés en vigueur hier 28 octobre, à la suite de sa publication au B.O.E. le samedi 27 octobre. En ce qui concerne l ' accélération de cette règle, le Gouvernement« considère que l'instrument le plus approprié pour l'exécution de cette mesure est le décret-loi royal » pour ses besoins extraordinaires et urgents. "Décret-loi royal cité"remplace et désintègre l'avant-projet de loi modifiant la loi organique sur la répression de la contrebande présentée en juillet dernier"(adopté au Conseil des ministres le 13 juillet).
Anen envisage une nouvelle réunion avec la Direction générale des douanes dans un proche avenir pour intervenir dans l'élaboration réglementaire du registre spécial ainsi que pour lever certains doutes et inconnues qui sont apparus à la suite de l'entrée en vigueur de cette loi. Voici une analyse des principaux enjeux queDécret-loi 16 / 2018
1. Qu'entend-on par sexe interdit?
Les navires suivants sont considérés comme interdits par la loi:
a) Aux fins du présent règlement, on entend par:
C'est vrai. Tous ceux dont la coque, y compris la structure pneumatique, est inférieure ou égale à 8 mètres de longueur totale, ayant une puissance maximale, quel que soit le nombre de moteurs, de 150 kilowatts ou plus (203,94 ch).
ii. Tous ceux dont le casque, y compris la structure pneumatique, est de plus de 8 mètres de longueur totale.
b) Aux fins du présent règlement, on entend par:
Le texte définit ce qu'on entend par éléments ou indications rationnels, tels que le non-respect de l'obligation d'enregistrer et d'enregistrer ou la modification importante de la partie de l'expédition relative au projet constructif initial, ou les navigations qui sont effectuées sans satisfaire aux exigences des agents de sécurité.
Le côté interdit du bateau est étendu à la fabrication, à la réparation, à la réforme, à la circulation, à la possession ou au commerce des bateaux visés au présent paragraphe, ainsi qu'à la navigation de tout point dans les eaux intérieures, la mer territoriale ou la zone adjacente.
2. Quelles sont les exemptions prévues par la loi?
La définition comme interdite ne doit pas atteindre les bateaux neutres et semi-rigides suivants:
a) La défense nationale.
b) Ceux qui ont la considération de navires d'État étrangers ou de navires légalement trouvés dans les eaux de l'épée.
c) Les navires des forces de sécurité de l ' État et de l ' administration fiscale de l ' État rattachés au Service de surveillance douanière.
d) Ceux qui servent à la réalisation de leurs objectifs par les autres ou organes de l'État, les communautés et les villes, les entités locales ou par des organismes publics qui leur sont liés ou dépendants, ainsi que ceux qui sont rattachés à des organisations internationales reconnues comme telles au Royaume d'Espagne.
e) Les navires auxiliaires, quelle que soit leur longueur, qui sont effectivement et exclusivement touchés par le service d ' une cargaison principale.
f) les navires autres que ceux visés au point c) qui sont affectés par des secours et une assistance maritime.
g) Ceux utilisés pour la navigation intérieure par les lacs, rivières et eaux en dehors des espaces marins.
h) Elles affectent l ' exercice des activités commerciales, sportives, de recherche ou de formation.
i) Loisirs à usage privé qui répondent aux exigences réglementaires en matière de sécurité et de commercialisation. Ce précepte a été incorporé à la demande d'Anen à la suite de réunions avec le Ministère de l'Intérieur avant la publication du présent décret-loi royal.
3. Obligation de s'inscrire dans un registre spécial
Par dérogation à ce qui précède, la loi prévoit que, dans les cas visés aux points f), g), h) et i) ci-dessus, l'exclusion de la classification en tant que type interdit exige, à titre de condition, l'inscription de l'opérateur au registre spécial des opérateurs à vitesse neumatique et semi-rapide et l'autorisation d'utilisation et d'inscription au même registre de chacun des navires dans lesquels elle est conforme aux circonstances prévues au paragraphe 1 point a) de la demande présentée par l'opérateur.
Ce registre porte sur l'ensemble du territoire de l'État membre et est situé à l'Agence d'État pour l'administration fiscale, à laquelle elle est responsable de la gestion et de la tenue de celui-ci, et les procédures d'enregistrement et d'autorisation sont effectuées par voie électronique.
4. Qu'advient-il des navires déjà en circulation et relevant des catégories f), g) h) et i)?
Ses titulaires auront jusqu'au 29 avril prochain (6 mois après l'entrée en vigueur de la loi) pour demander l'inscription au registre spécial des opérateurs de transport pneumatique et semi-haute vitesse et l'autorisation des navires qui l'exigent conformément aux dispositions susmentionnées.
5. Que devons-nous faire jusqu'à ce que le Registre spécial soit établi et réglementé par règlement?
D'ici là, les demandes d'inscription au registre des opérateurs de transport pneumatique et semi-haut rapide et d'autorisation d'utilisation des navires doivent être faites par l'intermédiaire du siège électronique de l'Agence de l'administration fiscale de l'État, conformément aux règles établies dans ce texte. Tant qu'il n'y a pas de résolution expresse sur les demandes d'enregistrement des opérateurs ou d'autorisation d'utilisation des navires, elles sont accordées à titre provisoire, sans que la décision finale à prendre soit subordonnée à cette décision.
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