
La France crée une taxe sur l'hébergement secret sur les bateaux de plaisance
La France crée une taxe sur l'hébergement secret sur les bateaux de plaisance
Selon la prestigieuse publication nautique française Bateaux, les pressions et les plaintes répétées des associations hôtelières auprès du gouvernement de France ont obtenu les fruits souhaités par le collectif... une nouvelle législation qui crée une taxe sur l'utilisation des bateaux de plaisance chez les particuliers a vu la lumière... est une série de nouvelles applications fiscales et fiscales, telles que la tentative de taxer l'utilisation simple de la résidence habituelle de nombreux marins dans le pays de Galo, ou leur occupation sporadique les vacances ou les week-ends. Ce qui est le plus préoccupant dans le secteur au niveau de notre pays, c'est que des pays comme la France sont pionniers dans ce type de législation... et il ne serait pas surprenant qu'à moyen terme ou même à court terme les autorités espagnoles soient toujours sur la même voie. L'application des règlements de cette nouvelle taxe sera sur le nombre de lits utiles de chaque bateau, que ce soit les voiliers ou les yachts à moteur, Bateaux ajoute que le gouvernement a très discrètement approuvé le décret d'être en fonctionnement rapidement, on pense donc qu'à partir du 9 mai il aura effet immédiat.
La lutte des hôtes galiciens contre les sites privés de location tels que "Airbnb", qui selon ces associations ont fait perdre au secteur l'ordre de 35 millions d'euro par an, en raison de pratiques de location privées, et ajoutent que dans de nombreux cas les marinas sportives sont devenus de vrais hôtels flottants. La nouvelle taxe française sera appliquée par lit... tous les couchettes d'au moins 50 cm de large sur 1,80 m de long auront un tarif de 1000 euros par an. Par exemple, la taxe s'applique à un tarif fixe... à un bateau avec 8 couchettes originales, un tarif de 8 000 euros par an sera appliqué. La Fédération nautique cherche déjà un moyen d'atténuer les effets de cette législation sévère : « Tous les membres de la Fédération doivent lutter avec la légalité en main contre cette surestimation législative... mais malheureusement puisque nous ne pouvons pas l'abroger, pour le moment nous ne pouvons que conseiller et pour le moment nous harcelons tous nos affiliés qui immédiatement ne maintiennent que les couchettes qui sont strictement essentielles, pour l'utilisation et la jouissance de leur navire. »
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